Les formations d'ARSENIC

Avec son organisme de formation, ARSENIC souhaite contribuer au développement des compétences des acteurs de la médiation numérique, et accompagner l’évolution des pratiques professionnelles de toutes et tous.

Pour toute demande de participation aux actions de formation :

  1. Téléchargez le programme de formation (à droite), pour découvrir le contenu, les intervenants,  tarifs et dates,
  2. Renseignez le formulaire d’inscription en ligne (cliquez sur Formulaire d’inscription).

ARSENIC vous contactera par mail, dans les meilleurs délais, pour vous adresser la convention de formation ou vous préconiser une action de formation correspondant davantage à vos besoins.

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Nous invitons tous les acteurs de la médiation numérique à nous communiquer tout autre besoin de formation.

Vos besoins de formation

La formation des salariés

Droit à la formation : comment ça marche ?

Quelles que soient la forme et la durée de son contrat de travail, le salarié peut se former en tout ou partie pendant le temps de travail.

Le statut du salarié pendant la formation dépend du cadre juridique dans lequel il se trouve : plan de formation, congé individuel de formation (CIF), mobilisation du compte personnel de formation (CPF), VAE, période de professionnalisation…etc.

Quelles sont les différentes catégories des actions de formation ?

Les actions de formation entrant dans le champ d’application des dispositions relatives à la formation professionnelle continue (article L6313-1 du Code du travail) sont les suivantes :

Les actions de formation :

  • – Préformation et préparation à la vie professionnelle;
  • – Adaptation et développement des compétences des salariés;
  • – Promotion (acquérir une qualification plus élevée);
  • – Prévention (réduire les risques d’inadaptation de qualification);
  • – Conversion (accéder à des emplois exigeant une qualification différente ou à des travailleurs non-salariés d’accéder à de nouvelles activités professionnelles);
  • – Acquisition, entretien ou perfectionnement des connaissances;
  • – Lutte contre l’illettrisme et apprentissage de la langue française;
  • – Radioprotection;
  • – Accompagnement, information et de conseil  pour créateurs ou repreneurs d’entreprises;
  • – Développement durable et transition énergétique.

Les actions de Bilan de compétence et VAE :

  • – Bilan de compétences. Susceptible de précéder une action de formation pour définir un projet professionnel ou de formation.
  • – Validation des acquis de l’expérience. Obtenir l’acquisition d’un diplôme, d’un titre à finalité professionnelle ou d’un certificat de qualification figurant sur une liste établie par la commission paritaire nationale de l’emploi d’une branche professionnelle et enregistrés dans le répertoire national des certifications professionnelles – RNCP.

Sont également considérées comme des actions de formation :

  • – les formations destinées à permettre aux bénévoles du mouvement coopératif, associatif ou mutualiste et aux volontaires en service civique d’acquérir les compétences nécessaires à l’exercice de leurs missions ;
  • – les formations destinées aux salariés en arrêt de travail.

Qui peut dispenser les actions de formation ?

Une entreprise peut organiser elle-même la formation de ses salariés ou faire appel à un prestataire extérieur.

Un salarié en congé de formation choisit librement son organisme de formation.

Quels sont les différents modes d’accès à la formation du salarié ?

L’accès des salariés à des actions de formation professionnelle continue est assuré :

  1. A l’initiative de l’employeur, le cas échéant, dans le cadre d’un plan de formation ;
  2. A l’initiative du salarié notamment par la mobilisation du compte personnel de formation (CPF) et dans le cadre du congé individuel de formation ;
  3. Dans le cadre des périodes de professionnalisation ;
  4. Dans le cadre des contrats de professionnalisation ;
  5. Dans le cadre de l’orientation professionnelle avec le conseil en évolution professionnelle (CÉP) et le bilan de compétences.

L’employeur est-il obligé de former les salariés ?

L’employeur est dans l’obligation d’organiser la formation de ses salariés dans les cas suivants :

  • 1. Tout au long de l’exécution des contrats de travail, l’employeur a le devoir d’assurer l’adaptation des salariés à leur poste de travail. Il veille également au maintien de leur capacité à occuper un emploi, au regard notamment de l’évolution des emplois, des technologies et des organisations. En cas de suppression d’emploi : l’obligation de reclassement des salariés concernés s’accompagne de celle visant à assurer leur adaptation au nouvel emploi, notamment par une formation adéquate et suffisante.
  • 2. A la suite de l’embauche d’un jeune en contrat d’insertion en alternance. L’organisation de la formation s’impose à l’employeur, qui est tenu de laisser le jeune suivre les actions de formation prévues.
  • 3. Lorsqu’un accord ou la convention collective applicable à l’entreprise prévoit des périodes de formation obligatoires(après une mutation, un congé de longue durée…).
  • 4. Si le contrat de travail d’un salarié contient l’engagement de l’employeur de le former.

Dans ces hypothèses, l’obligation de l’employeur a pour corollaire le devoir du salarié de suivre la formation.

À SAVOIR

A l’occasion de son embauche, le salarié est informé qu’il bénéficie tous les 2 ans d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle, notamment en termes de qualifications et d’emploi.

A qui revient la prise en charge financière de la formation ?

Le Code du travail impose aux entreprises des contributions financières minimales calculées sur leur masse salariale. Celles-ci sont, soit constituées de dépenses de l’entreprise, ou soit constituées de versements à des organismes spécialisés, créés et gérés par les partenaires sociaux : les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA).

Source : Ministère de l’emploi

Diplômes, titres et certifications professionnels

De quoi parle-t-on ?

Qu’entend-on par Diplôme ?

Un diplôme certifie un niveau de connaissances ou de compétences généralement acquis au terme d’études et de réussite à un examen, ou par le biais de la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE).

Il est homologué par les autorités nationales compétentes.

Il existe des diplômes :

nationaux : baccalauréat, licence, master et doctorat, délivrés par les ministères de l’Éducation nationale et de l’Enseignement supérieur ;

d’État, délivrés au nom de l’État par d’autres ministères, et souvent requis pour l’exercice de professions réglementées, notamment dans les champs de la santé, de l’animation, ainsi que du travail social ;

universitaires et d’établissement, délivrés par des institutions d’enseignement supérieur en leur nom propre.

Qu’entend-on par Titre professionnel ?

Un titre professionnel est une certification professionnelle délivrée, au nom de l’État, par le Ministère chargé de l’emploi.

Véritable reconnaissance officielle d’une qualification professionnelle, les titres professionnels du Ministère chargé de l’emploi sont :

  • Basés sur l’analyse de l’emploi et validés par les instances professionnelles consultatives où siègent les professionnels du secteur,
  • accessibles parla formation et par la validation des acquis de l’expérience,
  • inscrits aurépertoire national des certifications professionnelles,
  • délivrés au nom de l’Etat,
  • composés de « Certificats de Compétences professionnelles » (CCP), qui correspondent chacun à une activité pouvant faire l’objet d’une employabilité.

Il en existe près de 300, qui couvrent l’ensemble des secteurs d’activité et correspondent à des qualifications de niveaux V à II.

Un titre professionnel s’obtient au terme d’un parcours de formation professionnelle dans un centre AFPA ou dans un centre de formation privé, agréé par le ministère chargé de l’Emploi, ou par le biais de la VAE.

Il s’adresse à toute personne sortie du système scolaire, déjà engagée dans la vie active ou qui s’y engage, qu’elle soit titulaire d’un contrat de travail ou à la recherche d’un emploi (art. L.6314-1 du code du travail).

Le titre professionnel est divisé en 5 niveaux :

  • Le niveau V atteste d’un niveau de formation équivalent à celui du Brevet d’études professionnelles (BEP) ou du Certificat d’aptitude professionnelle (CAP),
  • le niveau IV marque un niveau de formation équivalent à celui du Brevet Professionnel (BP), du Brevet Technicien (BT), du Baccalauréat Professionnel ou du Baccalauréat Technologique,
  • le niveau III certifie un niveau de formation équivalent à celui d’un Diplôme des Instituts Universitaires de Technologie (DUT), d’un Brevet de Technicien Supérieur (BTS) ou d’un diplôme de fin de 1er cycle de l’enseignement supérieur,
  • le niveau II est équivalent ou supérieur à celui de la Licence ou des écoles d’ingénieur.

Liste des titres professionnels du ministère chargé de l’Emploi

Source : AFPA

Certaines professions exigent par exemple l’obtention d’un diplôme d’État : infirmier(ère), aide-soignant(e), éducateur(trice) de jeunes enfants, architecte…

Les titres professionnels permettent l’exercice d’activités professionnelles qualifiées, correspondant à des emplois des premiers niveaux de qualification. Ils peuvent également constituer une alternative intéressante pour les personnes n’ayant pas eu l’opportunité d’obtenir un diplôme.

Qu’entend-on par Certificat de Qualification Professionnelle (CQP) ?

Mis en place par une branche professionnelle pour répondre à ses besoins spécifiques, ce certificat atteste de la maîtrise par un individu de compétences liées à une qualification identifiée par la branche considérée.

Le CQP, qui n’a pas de niveau reconnu par l’Etat, n’a de valeur que dans la branche ou le regroupement de branches qui l’a créé.

L’élaboration d’un CQP relève d’une décision de la Commission paritaire nationale pour l’emploi (CPNE) de la branche.

Source : cncp.gouv.fr

 

Qu’entend-on par Certification professionnelle ?

Une certification professionnelle atteste de capacités à réaliser des activités professionnelles dans le cadre de plusieurs situations de travail et à des degrés de responsabilités définis.

Les certifications professionnelles sont organisées en 3 registres :

  1. Les diplômes et titres à finalité professionnelle délivrés au nom de l’État ;
  1. Les Certificats de Qualification Professionnelle élaborés dans le cadre des branches professionnelles ;
  • Les diplômes et titres élaborés par les organismes publics ou privés de formation, tels que les certifications délivrées sous la tutelle d’un ministère, les certifications délivrées par des organismes privés et associatifs ou via un réseau d’établissements, etc.

Les diplômes et titres ont tous la même valeur mais ont des finalités et des objectifs différents, selon l’instance qui les valide. Ainsi, les diplômes de l’Education Nationale ont pour mission d’attester des capacités à exercer des activités professionnelles mais également pour seconde mission, l’acquisition des savoirs généraux.

Pour les ministères de la santé, des affaires sociales, des sports et de l’agriculture, les diplômes ont une mission de professionnalisation. Il s’agit en effet d’attester des capacités professionnelles et des performances dans l’exercice de l’activité.

Pour les CQP, la mission est de répondre à des besoins de qualification pour les personnels des branches.

Les certifications professionnelles sont recensées au RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) géré par la CNCP (Commission Nationale de la Certification Professionnelle). Ce répertoire comprend les diplômes professionnels des ministères et les CQP de branches.

Depuis la réforme de la formation professionnelle le CNCP a pour mission de mettre en place un inventaire des certifications et habilitations correspondant à des compétences transversales. Cet inventaire est en cours d’élaboration.

Source : le-compte-personnel-formation.com

La Validation des Acquis de l’Expérience (VAE)

Toute personne, quels que soient son âge, sa nationalité, son statut et son niveau de formation, qui justifie d’au moins 1 an d’expérience en rapport direct avec la certification visée, peut prétendre à la VAE. Cette certification qui peut être un diplôme, un titre ou un certificat de qualification professionnelle doit être inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP).

A quoi ça sert ?

  • Obtenir une certification
  • Mettre en cohérence sa certification avec son niveau de responsabilité
  • Valider son expérience pour soi
  • Faire reconnaître ses compétences
  • Obtenir unniveau de qualification permettant d’accéder à une formation d’un niveau supérieur ou de s’inscrire à un concours
  • Changer d’emploi
  • Evoluer professionnellement / Obtenir une augmentation ou une promotion professionnelle
  • Développer sa confiance en soi

Source et + : vae.gouv.fr

La Validation des Acquis Professionnels (VAP)

(Decret 85-906 du 23 aout 1985)

La VAP permet d’entrer directement dans une formation universitaire sans avoir le diplôme requis*, en faisant valider une expérience professionnelle (salariée ou non), les formations suivies ou les acquis personnels développés hors de tout système de formation.

* Par exemple, un bac+3 pour une entrée en deuxième année de master (bac +5).

La validation des acquis permet d’accéder à une formation sans avoir le niveau requis.

Conditions :

  • Avoir interrompu ses études depuis au moins 2 ans (3 ans en cas d’échec).
  • Etre âgé de 20 ans au moins à la date prévue de reprise d’etudes.
  • Plusieurs demandes sont possibles.

Diplômes et titre professionnel en médiation numérique

Régions du Sud-Est

Niveau BAC : Diplôme d’Etat du BPJEPS TIC

Accès à la formation

Pour s’inscrire à la formation BPJEPS spécialité TIC, le candidat doit répondre à plusieurs critères :

  • Etre âgé de 18 ans minimum
  • Maîtriser l’outil informatique
  • Avoir eu une expérience dans l’animation d’au moins six mois (910 heures)
  • Passer un test évalué par un expert ou être titulaire du volet 2 du passeport pour l’Internet et le multimédia

Durée de la formation

La formation BPJEPS spécialité TIC s’effectue en alternance et s’étend sur une durée d’environ 600 heures de formation théorique et 430 heures de formation pratique.

Pour l’obtention du BPJEPS spécialité Techniques de l’information et de la communication, 10 Unités Capitalisables doivent impérativement être obtenues. Ces 10 Unités Capitalisables sont réparties sur trois axes.

Quatre unités capitalisables communes à toutes les spécialités :

  • UC 1 : Savoir communiquer dans les situations de la vie professionnelle
  • UC 2 : Prendre en compte les caractéristiques des participants pour mettre au point une action éducative
  • UC 3 : Être capable de monter un projet ainsi que son évaluation
  • UC 4 : Savoir participer au fonctionnement de la structure

Cinq unités capitalisables spécifiques à la spécialité Techniques de l’information et de la communication :

  • UC 5 : Préparer une action d’animation utilisant les techniques de l’information et de la communication
  • UC 6 : Savoir encadrer un groupe dans le cadre d’un projet utilisant les techniques de l’information et de la communication
  • UC 7 : Pouvoir mobiliser les compétences nécessaires à la conduite des activités professionnelles
  • UC 8 : Conduire une action éducative utilisant les techniques de l’information et de la communication
  • UC 9 : Savoir maîtriser les logiciels et le matériel informatique utilisant les techniques de l’information et de la communication

Une unité capitalisable d’adaptation :

  • UC 10 : Adaptation à l’emploi

 

 

Niveau BAC + 2 : Titre professionnel Conseiller Médiateur Numérique

(remplace CATIC)

Le Titre professionnel conseiller et assistant en technologies de l’information et de la communication (CATIC) de niveau IV est devenu en juillet 2016, le titre professionnel Conseiller médiateur numérique, de niveau III.

Accès à la formation

Baccalauréat ou équivalent.
Expérience en animation, formation, médiation, management ou gestion de projet.
Bonne culture en informatique et en numérique.

Modules

  1. CCP 1. Accompagner différents publics vers l’autonomie, dans les usages des technologies, services et médias numériques
  • Assurer l’accueil et l’information des différents publics dans le cadre d’une structure ou lors d’une action de médiation numérique.
  • Etablir un programme d’actions de médiation pour faciliter l’appropriation des usages et outils numériques à destination des particuliers ou d’une entreprise ou d’un territoire.
  • Mettre en oeuvre des actions de médiation individuelles ou collectives auprès d’utilisateurs dans un environnement numérique.
  • Produire des supports pédagogiques ou de communication.
  1. CCP 2. Assister les utilisateurs dans des espaces collaboratifs et/ou de fabrication numérique
  • Contribuer à la définition et à l’animation de projets collaboratifs et/ou de partenariats dans un environnement numérique.
  • Assister techniquement différents publics et entreprises dans l’utilisation de machines et outils numériques.
  • Assurer la gestion et le premier niveau de maintenance du matériel numérique.
  1. CCP 3. Collaborer à la valorisation numérique d’un territoire, d’une entreprise ou d’un projet
  • Mesurer la présence numérique d’un territoire, d’une entreprise ou d’un projet.
  • Développer et valoriser la présence numérique, d’un territoire, d’une entreprise ou d’un projet.
  • Favoriser la réputation et/ou la cohésion au sein d’une communauté numérique.
  • Produire et diffuser des savoirs et des données d’un territoire, d’une entreprise ou d’un projet.

Où se former au TP Conseiller médiateur numérique en PACA ?

13 – Bouches du rhône :

URBAN PROD

18 rue Colbert, 13001 Marseille

04 84 25 25 47

contact@urbanprod.net

www.urbanprod.net

 

83 – Var :

Mode83

429 boulevard des remparts

83300 Draguignan

04 94 50 98 90

contact@mode83.net

www.mode83.net

 

84 – Avignon

Avenir84

27 bis avenue de la Trillade, 84 000 AVIGNON,

04.90.86.59.91

contact@avenir-84.org

www.avenir-84.org

 

AFPA Le Pontet

56 avenue Emile Zola
84130 LE PONTET
3936

www.afpa.fr

DU 3MI (Médiation Multimédias et Monitorat d’Internet)

A distance

Ce diplôme Universitaire prépare les acteurs d’espaces publics d’accès à l’internet à leur rôle d’animateurs dans les technologies de l’Information et de la Communication.

Modalités pédagogiques

Les apprentissages s’organisent en campus virtuel, c’est-à-dire à distance via l’Internet. Les étudiants sont organisés en groupes formant des communautés virtuelles qui pratiquent le travail collaboratif.

La participation aux échanges au sein de la communauté virtuelle (travail collaboratif, liste de diffusion, forums, etc.) est prise en compte dans l’évaluation et compte pour l’obtention des crédits. Les UE sont évaluées en contrôle continu en ligne.

Objectifs :

L’étudiant va acquérir à la fois des connaissances et des compétences
afin de :

  • être capable d’initier tout public aux usages de l’ordinateur et de l’Internet
  • être capable de conseiller et d’assister les usagers
  • être capable d’animer un petit groupe
  • être capable d’apporter une aide personnalisée aux utilisateurs
  • être capable d’administrer des ordinateurs en réseau

Le programme s’organise ainsi :

  • acquisition de connaissances techniques fondamentales assurant la maîtrise des usages de l’ordinateur, des réseaux et de l’Internet ;
  • acquisition de connaissances et compétences générales, dans le domaine de l’animation d’un groupe ;

Accès

Cette formation est ouverte aux titulaires du bac ou aux candidats ayant obtenu une validation des acquis leur permettant de suivre une formation universitaire. Toute candidature sera donc accompagnée d’un cv avec pièces justificatives et d’une lettre de motivation, présentant un projet professionnel cohérent avec le parcours choisi.

Durée : 6 mois.

www.unilim.fr

 

Niveau BAC + 5  : Master 1 Humanités Numériques

Université Paul Valéry – Montpellier

Présentation

Le Master première année (M1) Médiation numérique et ingénierie pédagogique vise à former des acteurs destinés à agir dans le domaine de la création et conception de dispositifs et ressources pédagogiques numériques, de la formation en ligne, de l’analyse de données numériques issues d’usages communicationnels technologisés, de l’expertise dans le domaine de la communication et de la médiation numérique et de la recherche dans le domaine des Humanités numériques.

Savoir-faire et compétences

– Être capable de construire une formation numérique (enrichie,hybride, à distance, MOOC, SPOC) de l’analyse des besoins, à la conception et à la mise en œuvre finale,

– Gérer l’activité tutorale et manager des réseaux sociaux dans une optique de formation,

– Collecter des données, connaître les outils et différencier les méthodes et pratiques d’analyse de texte assisté par ordinateur (ATO),

– Être capable de saisir certains aspects d’une anthropologie numérique entre corps et technologies, d’appréhender et d’analyser les situations de démonstration et de simulation,

– Savoir analyser les divers environnements numériques en usage dans leur instrumentation humaine et artefactuelle,

– Identifier, définir un objet de recherche et proposer une démarche adaptée à l’analyse d’un projet d’étude en relation avec les différents domaines traités.

Conditions d’admission

En M1 :

Cette formation est ouverte à la candidature des étudiants titulaires des diplômes sanctionnant les études du premier cycle.

Critères d’évaluation des dossiers de candidature :

  • Adéquation du profil du candidat avec les pré-requis de la formation
  • Prise en compte du parcours académique, des notes de Licence, CPGE, Master 1 (redoublants), du classement et des mentions obtenues
  • Esprit d’initiative
  • Projet professionnel
  • Motivation personnelle

Pré-requis en termes de connaissances et de compétences :

– Connaissances en matière de médiation numérique, d’humanités numériques, d’usages des technologies.

– Pour les candidats non francophones, le niveau de français B2 est requis.

Source et + : Université Paul Valéry – Montpellier 3